Cytochrome P450 2D6 et enzymes CYP2D6

Publié le 22 Décembre 2015

Antiarythmiques: flécaïnide, propafénone Antidépresseurs: amitriptyline, clomipramine, désipramine, imipramine, nortriptyline, paroxétine Antitussifs: codéine, dextrométhorphane β-bloquants: alprénolol, métoprolol, propranolol, timolol Neuroleptiques: halopéridol, perphénazine, rispéridone, thioridazine, zuclopenthixol ...

métaboliseurs lent CYP450 2D6
Il y a environ 5-10 % de PM da ns la population caucasienne.
Les conséquences cliniques du polymorphisme d’une enzyme impliquée dans le métabolisme d’un médicament sont :
Accumulation de la molécule mère pour les méta boliseurs lents avec parfois risque d’effets indésirables, de toxicité ;
− Pas d’effet thérapeutique des prodrogue s métabolisées par cette enzyme

Il y a statistiquement une chance sur 10 que vous soyez métaboliseur lent
Comme son nom l'indique, le "métaboliseur lent" est une personne qui métabolise lentement, c'est-à-dire dont les enzymes du foie, chargées naturellement de transformer les produits en excès pour faciliter leur élimination, travaillent plus lentement que d'autres, ou sont déficients. De ce fait, avec la même dose d'un médicament que cet enzyme est censé traiter, le métaboliseur lent va avoir une concentration plus élevée de médicament qu'une personne du même âge, poids, régime alimentaire, etc.
Sachant par ailleurs que 20 % des français se voient prescrire des psychotropes, et que donc 10 % d'entre eux au bas mot sont susceptibles de ne pas supporter les doses de référence standardisées, lesquelles sont administrées la plupart du temps sans connaissance de leur spécificité - les doses "standard" étant indiquées par les fabricants pour des personnes "standard" - alors on est en mesure d'imaginer les répercussions que la prescription aveugle peut avoir sur 150.000 métaboliseurs lents : le résultat à rapprocher des quelques 20.000 à 30.000 décès (selon les sources) pour causes iatrogènes chaque année dans notre pays.

Le cytochrome P450 2D6 (CYP2D6) participe au métabolisme oxydatif de 25% des médicaments couramment prescrits (antidépresseurs, neuroleptiques, opiacés faibles, antiarythmiques),
 
Les antidépresseurs-induisent l'akathisie et les homicides liés associées à des mutations dans les gènes du métabolisme diminution de la famille CYP450
 Objectif: Examiner la relation entre les allèles variants des gènes CYP450 en 3 (CYP2D6, CYP2C9 et CYP2C19), des médicaments qui interagissent et akathisie chez les sujets visés à une pratique psychiatrie médico-légale à Sydney, en Australie.
 

Trente-cinq pour cent sont porteurs d'un allèle CYP2D6 non-fonctionnelle, donc avec un risque particulierement élevé de réactions indésirables aux médicaments lorsque ces individus prennent plusieurs médicaments ... Cela signifie que potentiellement jusqu'à 1 milliard de personnes sur la planète ne peuvent pas métaboliser et éliminer les médicaments couramment prescrits de leur corps ". Les antidépresseurs sont parmi les drogues les plus dangereuses disponibles Les dernières décennies ont été marquées par un immense travail de con par l'industrie pharmaceutique industrie. Cette déception n'a pas seulement vous, le consommateur ciblé, mais aussi le gouvernement organismes comme la FDA et les médecins sans méfiance qui croient vraiment qu'ils  aident leurs patients par les antidépresseurs et d'autres médicaments de prescription. Ces traitements ont été commercialisés comme sûr et efficace, alors qu'en réalité, ils ne sont pas. Il semble que les antidépresseurs et antipsychotiques (aussi appelés neuroleptiques) sont peut être parmi les médicaments les plus dangereux de tous. Les médicaments antidépresseurs provoquent 40000 décès par an, mais ils sont distribués comme des bonbons aux adultes comme aux enfants.

Pharmagedon :
39-45 doses de vaccin au moment où vous êtes 6 ans. Et maintenant ajouter la récente in utero tourné pour le fœtus, le vaccin contre la grippe par le mercure. L’épidémie du TDAH, TDA, TOC, bipolaire, l’autisme, l’encéphalite, la narcolepsie est due à la quantité excessive de vaccins qui sont forcées sur les enfants par notre gouvernement afin d’entrer dans l’école. Pour compenser ou d’atténuer les effets de la lésion vaccinale, mal nommé comme « maladie mentale » psyché médicaments sont donnés comme des bonbons. 25% de tous les enfants américains sont sur ​​les médicaments psyché. Et maintenant, la Coalition nationale des femmes organisées découvrir l’un des péchés les plus graves Pharma dans l’histoire de la psyché moderne. L’information qui aurait permis d’éviter les fusillades dans les écoles, les homicides, les overdoses, l’épidémie bizarre de malades mentaux dans les dernières années a été disponible pour vers 15 ans, depuis la cartographie génétique. Cytochrome P450 2D6 est la voie la plus importante du métabolisme qui détoxifie 50% de tous les médicaments et les drogues illicites psyché.7-10% des Caucasiens, par exemple, sont pauvres ou non-métaboliseurs en raison d’une suppression ou d’une activité non de la voie 2D6. Il ya un pourcentage d’Asiatiques et les Américains Afrikan qui sont des métaboliseurs lents.Lorsque certains médicaments (liste ci-dessous) sont donnés à ces données démographiques, en raison de leur incapacité à les métaboliser, ces personnes deviennent psychotiques, homicide, suicide, un danger pour eux-mêmes et de la société. Il ya d’autres voies sur le cytochrome P459 3A4 comme Cyt impliqués dans les rapports psychose de soldats sur Lariam, un médicament contre le paludisme. Un autre exemple: la marijuana (cannibales)  est un puissant inhibiteur du cytochrome P450 isoenzymes 3A4, 2C19, 2D6 et. Il s’agit d’une variation génétique, c’est tout.. Ethiopiens et qu’Afrikains traditionnel tanzanien qui ont eu des sols pauvres pour cultiver des aliments ont été consommant beaucoup de mauvaises herbes (adventices médecine), ils ont évolué à multiplier leurs 2D6 du cytochrome. Ces gens sont des «métaboliseurs rapides». Il s’agit d’un test très simple: Swap de la bouche, des dents et des gencives avec 2 compresses stériles (ressemble q-tips) et l’envoyer à notre contact laboratoire en Australie.

métaboliseur lent du cyp4502D6 : 7% de la population caucasienne
La pharmacogénétique est apparue pour la première fois en 1953 avec la description du phénotype « acétyleur lent » de l’isoniazide, un antituberculeux. Ce  phénotype  a  été  rapidement  associé  à  une  augmentation  de  la  neurotoxicité  de  cet  antituberculeux  couramment  prescrit.  Dans  les  années  1950 sont  successivement  décrits  des  syndromes  particuliers  que  l’on  rattache  à des  déficits  constitutionnels  en  différentes  protéines  (glucose-6-phosphate déshydrogénase  et  anémie  hémolytique   aux  dérivés  de  la  quinine,  apnées  à la succinylcholine chez des patients déficients en cholinestérase).
Dans les années 1960, des médecins colligent des effets indésirables survenus chez leurs patients avec certains médicaments ; ces effets sont associés à des concentrations circulantes très élevées de ces médicaments. C’est en constatant l’élimination extrêmement lente de quelques médicaments par certains patients  que  l’on  découvre  les  enzymes  hépatiques  responsables  du  métabolisme  des  médicaments  (cytochromes  P450  ou  CYP).  Les  premiers  cas décrits  soulignent  déjà  à  l’époque  que  ces  phénotypes  « métaboliseur  lent » sont  rattachés  à  des  modifications  d’ordre  génétique  car  ils  se  transmettent selon un mode mendélien. Il faut attendre les années 1980 et les progrès de la  biologie  moléculaire  pour  l’identification  des  gènes  codant  les  protéines du  métabolisme.  Les  mutations  responsables  des  phénotypes  « métaboliseur lent » sont alors progressivement publiées.
C’est  avec  l’apparition  des  tests  génétiques  et  le  séquençage  du  génome humain, et au début des  années 2000, puis 20 03, que la pharmacogénétique a pris un nouvel essor dans le développement et le suivi des médicaments. Le développement   considérable    de   la   pharmacogénétique,   attesté   par   un nombre  croissant,  voire  exponentiel  de  publications  qui  y  sont  consacrées, depuis une vingtaine d’années, couvre au jourd’hui trois grands domaines. Ils sont  tous  impliqués  dans  la  variabilité  interindividuelle  de  la  réponse  aux médicaments. Ces trois domaines sont les suivants : les enzymes du métabolisme  des  médicaments,  les  transporteurs  transmembranaires  des  médica- ments et les récepteurs ou sites « cibles » des médicaments.

L'importance du test de génotypage pour établir si une personne est capable de métaboliser les antidépresseurs

Le cas des antidépresseurs

Les antidépresseurs sont à la fois des inhibiteurs puissants des enzymes CYP450 2D6 et métabolisés par ces mêmes CYP450 2D6. Ce qui implique très rapidement une non élimination de ces drogues.

Ils freinent alors l'élimination des médicaments fortement métabolisés par le CYP 2D6 dont les leurs concentrations et demi-vie plasmatiques augmentent conduisant au surdosage.
 
Or:
 

Le cas des opioïdes

La codéine subit au sein de l'organisme une transformation qui permet la formation de morphine. L'élément responsable de cette transformation est une enzyme, le cytochrome CYP2D

"On estime que la population caucasienne comprend 3,6% à 6,5% de métaboliseurs ultrarapides du CYP2D6 (les chiffres varient en fonction de la population). Chez ces personnes, l’excès de métabolisme des opioïdes pro-médicaments en métabolites actifs peut se traduire, à posologie usuelle, par un surdosage ou une toxicité.

La population caucasienne comprend également 7% de métaboliseurs lents du CYP2D6. Ces personnes nécessitent des posologies plus importantes pour ressentir les effets du traitement et parfois ils ne répondent pas du tout à ces antalgiques (Rev Med Suisse. 2004;0:23775).

Les interactions médicamenteuses peuvent également modifier l’activité du cytochrome CYP2D6. Les médicaments, inhibiteurs du cytochrome CYP2D6, limitent la production de métabolites actifs et par conséquent l’efficacité de ces antalgiques. C’est le cas notamment de certains antidépresseurs (citalopram, escitalopram, duloxétine, fluoxétine, paroxétine, sertraline…), antipsychotiques (halopéridol, quétiapine, rispéridone…) et antiarythmiques (amiodarone, flécanide, propafénone…) (Rev Med Suisse, 2018, 14, 1268).

A l’inverse, l’association avec un inhibiteur du CYP 3A4, favorise la voie métabolique passant par le CYP2D6 et par conséquent la production de métabolites actifs. L’association à certains médicaments, connus pour inhiber le cytochrome CYP3A4, augmente le risque de surdosage et donc d’effets indésirables. On peut citer les antifongiques (ketoconazole), les antibiotiques (érythromycine, clarithromycine…) ou encore l’amiodarone (inhibiteur de CYP2D6 et CYP3A4), le diltiazem, le verapamil, etc (Douleurs : Evaluation – Diagnostic – Traitement, 2019, 20, 265).

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